Où il sera question d’un retour à l’affaire Fertiladour, avec « un peu de bruit » mais sans doute pas assez, d’une stratégie constante de la mise sous silence de ce qui fâche, et puis d’un « bruit », malgré tout, que l’on entend désormais, au Théâtre de la Reine Blanche à Paris, avec les représentations de la pièce qui lui est consacrée, « 36ème dessous » de la Compagnie Si et Seulement Si, jusqu’au 23 juin 2019.
Billet
« Des poussières dans le cœur » (par un lecteur du livre)
Un texte écrit et confié par un lecteur du livre, qui semble l’avoir parcouru avec une colère et une émotion constantes.
Par ces mots et ses rimes, l’auteur/lecteur pointe la responsabilité du Directeur de l’usine Fertiladour, dans ce qu’il avait de pire à conserver : l’apparence insouciante d’un homme aux mains propres.
Rien à faire devant « l’affaire Fertiladour » (vraiment ?)
Le livre a déterminé trois camps de protagonistes liés à l’histoire de l’ancienne usine Fertiladour : les « bons », les « méchants » et les « imbéciles ». Mais deux articles de Sud-Ouest mettent à jour une 4ème catégorie : celles des responsables qui regardent ailleurs.